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Carême semaine sainte

Carême 2011


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Seigneur, avec toi nous irons au désert, poussés comme toi par l'Esprit. Et nous mangerons la parole de Dieu, et nous choisirons notre Dieu. Et nous fêterons notre Pâque au désert : Nous vivrons le désert avec toi !

Cheminement à la Réunion (semaine aprés semaine)

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Carême un temps de conversion pour nos familles par la prière-les privations-le partage

Thème:
Pâques: Christ Resuscité

Résurrection pour nos familles
Prière d’engagement

Jésus, Tu veux avoir besoin de moi pour continuer ta mission.
Je t’offre mes yeux : qu’ils regardent avec amour les personnes que je rencontrerai.
Je t’offre mes mains : qu’elles soient toujours ouvertes pour accueillir les autres, et pour les aider, dans la joie.
Je t’offre mes pieds : qu’ils soient toujours prêts à aller là où il y a une personne dans le besoin.
Je t’offre mes paroles : qu’elles soient toujours porteuses d’amour, de compréhension et de pardon, comme l’ont été les tiennes.
Je t’offre mon cœur : qu’il aime comme toi tu as aimé, même si cela devait être difficile et m’obligeait à porter la croix.
Jésus, Je veux rester dans ton amitié. Me voici ! Je suis à ton service ! Comme les prophètes et les apôtres, je veux dire oui à l’appel de Dieu.
(Joseph Cordinal)


Prenons la main que Dieu nous tend.

Voici le temps, le temps où Dieu fait grâce à notre terre.
Jésus est mort un jour du temps.
Voici le temps, le temps de rendre grâce à notre Père.
L’unique Esprit bénit ce temps.
Prenons le temps, le temps de vivre en grâce avec nos frères.

Prenons la paix qui vient de Dieu.
Voici le temps, le temps où Dieu fait grâce à notre terre.
Jésus est mort pour notre vie.
Voici le temps, le temps de rendre grâce à notre Père.
Son règne est là: le feu a pris.
prenons le temps, le temps de vivre en grâce avec nos frères.

Voici le pain qui donne tout.
Voici le temps, le temps où Dieu fait grâce à notre terre.
Jésus est mort, Jésus nous vient.
Voici le temps, le temps de rendre grâce à notre Père.
Soyons du corps où tout se tient.
prenons le temps, le temps de vivre en grâce avec nos frères.

 

 


Au Nom du Père - du Fils et du Saint Esprit Amen
: En ce dimanche, nous célébrons à la fois l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, mais aussi sa passion et sa mort. Acclamé comme un roi le jour des Rameaux, Jésus sera condamné à mort quelques jours plus tard. À travers sa passion, le Christ nous invite à nous ouvrir au don qu’il nous fait de sa vie. Ce don si total, si absolu dans l’amour, qu’il rejaillira en puissance de vie débordante au moment de sa Résurrection.  

« Venez, gravissons ensemble le mont des Oliviers ! Allons à la rencontre du Christ.

Il revient aujourd'hui de Béthanie et Il s'avance de son plein gré vers Sa Sainte

et Bienheureuse Passion, afin de mener à son terme le mystère de notre salut »


Je crois en Dieu ...

Voici le salut du monde : Dieu vient vers la croix et le désiré des nations fait son entrée dans Sion ; la lumière vient, crions avec le peuple : « Hosanna au Fils de David ». Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Le Seigneur Dieu nous est apparu à nous qui étions assis dans les ténèbres et à l'ombre de la mort. Il est apparu, résurrection de ceux qui sont tombés, libération des captifs, lumière des aveugles, consolation des affligés, repos des faibles, source des assoiffés, vengeur des persécutés, rachat de ceux qui sont perdus, union des divisés, médecin des malades, salut des égarés. Hier, le Christ ressuscitait des morts Lazare, aujourd'hui, il court à la mort ; hier, il arrache Lazare aux bandelettes qui le liaient, aujourd'hui, il tend les mains à ceux qui veulent le ligoter. Hier, il arrachait cet homme aux ténèbres, aujourd'hui, pour les hommes, il s'enfonce dans les ténèbres et l'ombre de la mort. Et l'Église est en fête. Elle commence la fête des fêtes, car elle reçoit son roi comme un époux, car son roi se tient au milieu d'elle.

Notre Père

C’est vers le Christ que nous montons »: avec toutes les nations, suivons le Roi Jésus qui entre dans sa ville en triomphateur. Fils de David, sauve-nous ! Je vous salue Marie...

« C’est vers le Christ que nous montons »: avec toutes les nations suivons le Roi Jésus qui reçois l’acclamation de son peuple. Fils de David, pardonne-nous ! Je vous salue Marie

« C’est vers le Christ que nous montons»:            Avec toutes les nations, suivons le Roi Jésus qui  foule un chemin de gloire, assis sur un âne, et qui va mourir humilié cloué en croix. Fils de David, sauve-nous ! Je vous salue Marie

Gloire au Père....

Is 50,4-7 ; Ph 2,6-11 ; Mt 26,14-27,66.
 

1ère dizaine.
« Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples. » (26,18) ! Dans sa Passion, Jésus nous est présenté par Matthieu comme maître des événements. Jésus a épousé la condition humaine jusqu’à son extrême limite,il a connu le rejet et la souffrance, il est en mesure de comprendre et de porter la misère de notre monde. Merci Jésus d’avoir donné librement ta vie pour nous sauver de la mort et du péché.   Pour nous, le Christ s’est fait obéissant, jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Accorde-nous, Seigneur, de connaître « l’amour du Christ qui surpasse tout ce qu’on peut connaître » et d’entrer « dans la plénitude de Dieu » Avec Marie, demandons la grâce de pouvoir suivre Jésus sur ce chemin du don de soi ! 
 2ème dizaine. « Rentre ton épée…  Crois-tu que je ne puisse pas faire appel à mon Père, qui mettrait aussitôt à ma disposition plus de douze légions d’anges ? Mais alors, comment s’accompliraient les Écritures ?» (26,52-54). Jésus exprime à Pierre qu’il refuse de s’opposer à la violence par la violence, et aussi de recourir à une intervention miraculeuse de la puissance divine. Il choisit lucidement le chemin de l’humiliation, parce qu’il y reconnaît ce qui est conforme au dessein de Dieu révélé dans l’Écriture.   Pour nous, le Christ s’est fait obéissant, jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Que Ton Eglise, Seigneur, ait le souci d’être présente à tous ceux qui souffrent aujourd’hui dans leur corps et dans leur coeur !Avec Marie, demandons la grâce de suivre Jésus sur le chemin de l’humilité et de l’obéissance.
3ème dizaine. « Judas, le traître, fut pris de remords en le voyant condamné ; il rapporta les trente pièces d’agent… il dit : « J’ai péché en livrant à la mort un innocent ». Jetant les pièces d’argent dans le Temple, il se retira et alla se pendre » (27,3-5). Judas, pris de remords, confesse qu’il a péché et que Jésus est innocent. Son geste, jeter l’argent dans le Sanctuaire, est un déni de sa trahison, et une accusation des chefs juifs : ce sont eux les vrais coupables. Dans l’intérêt qu’il porte à Judas, Matthieu souligne la vérité : le procès de Jésus est un procès inique.   Pour nous, le Christ s’est fait obéissant, jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Jésus, tu as été abandonné, trahi, mis à mort par les hommes. Nous te prions pour l'humanité écrasée par la souffrance. Que l'espoir, l'amour, le pardon qui tu as vécus dans ta passion puissent la soutenir et la faire revivre. Avec Marie, demandons la grâce de ne jamais accepter le mensonge ni l’injustice.
4ème dizaine.   « Jésus rendit l’esprit. Et voici que le rideau du Temple se déchira en deux… la terre trembla et les rochers se fendirent. Les tombeaux s’ouvrirent… Le centurion et ceux qui gardaient Jésus… dirent : « Vraiment, celui-ci était le Fils de Dieu ! » (27,51-54) Le voile déchiré, l’ébranlement cosmique, présentent la mort de Jésus comme la fin de l’ancienne alliance. La confession de foi du centurion, étendue à ses compagnons, amorce un mouvement de conversion chez les païens destiné à une grande ampleur. Pour nous, le Christ s’est fait obéissant, jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Ils regardent vers Dieu avec espérance, les catéchumènes et les nouveaux convertis, ceux que la Parole a touchés dans le silence de leur coeur. Avec eux, nous prions Dieu et nous lui demandons sa tendresse.  Demandons à l’Esprit Saint de nous rendre sensibles à ce monde nouveau engendré dans la mort et la résurrection de Jésus.
5ème dizaine. « Les chefs des prêtres et les pharisiens s’assemblèrent chez Pilate en disant : « Seigneur… cet imposteur a dit de son vivant : « Trois jours après, je ressusciterai ».(27,63-64) La présence des gardes est l’occasion d’exprimer, avant même les récits d’apparitions, la foi en la résurrection. Ce récit étonnant rappelle la prédiction de Jésus et anticipe le témoignage apostolique; il nous donne la vision de l’unité du mystère pascal.. Pour nous, le Christ s’est fait obéissant, jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Jésus envoyé-Jésus acclamé :que ton Eglise te loue aujourd’hui pour ta présence et la joie invincible de la foi. Jésus Serviteur-Jésus obéissant : que tes disciples se laissent instruire chaque matin par la Parole qui réconforte et éclaire.Jésus abaissé-Jésus élevé: que toutes les nations proclament que tu es Seigneur pour la gloire de Dieu le Père.Jésus livré-Jésus miséricorde :que chacun de nous garde en son cœur la mémoire vive de ta présence et de ton amour.


 
Dieu éternel et tout-puissant, pour montrer au genre humain quel abaissement il doit imiter, tu as voulu que notre Sauveur, dans un corps semblable au nôtre, subisse la mort de la croix : accorde-nous cette grâce de retenir les enseignements de sa passion et d’avoir part à sa résurrection. Seigneur permet que je sois là avec la foule pour te louer et pour te glorifier. Je ne veux pas être seulement un spectateur. Tu es vraiment le Roi qui vient au nom du Seigneur ! Tu mérites ma louange pour toutes les grandes choses que tu as faites et que tu fais encore. Tu mérites ma reconnaissance éternelle pour tout ce que tu as fait pour moi. Accorde-moi ta grâce, que je chante sans cesse tes louanges non seulement par mes mots mais également par mes actions.

source :
Jésus en sa passion: http://charismata.free.fr

et différentes sources

  • Chapelet dimanche des Rameaux
  • Dimanche des Rameaux
  • Chapelet des douleursNouveau !
  • Prière semaine sainte
  • Semaine Sainte

    Achève le temps du carême, commence avec le dimanche des Rameaux (célébration de l'entrée solennelle du Christ à Jérusalem) et inclut le jeudi saint (célébration de la cène et de l'institution de l'Eucharistie), le vendredi saint (célébration de la Passion du Christ et de sa mort sur la croix) et s'achève avec la vigile pascale pendant la nuit du samedi saint au dimanche de Pâques.

  • Triduum pascal

    Triduum pascal

      

    Mot latin ignifiant « un espace de trois jours » (tres : « trois » et dies : « jour »). Le Triduum pascal, qui va de la messe du soir le Jeudi Saint  au dimanche de Pâques inclus, est le centre de gravité de l’année liturgique.

    De la Cène à la Résurrection s’écoulent ces trois jours auxquels le Seigneur a souvent fait allusion (cf. Mt 12, 40 ; 26, 61 ; Jn 2, 19) dans l’Évangile et qui, ensemble, constituent le Mystère pascal.

    Le mot « triduum » désigne aussi trois jours d’une prière plus ins­tante

    Triduum = “trois jours”. Lors de ces trois jours, nous célébrons le passage de Jésus, de ce monde à son Père, qui est donc à la fois la Source de son être et de toute chose, et sa “destination” finale. C’est ce que nous dit saint Jean dans son évangile, par cette phrase qui revient pour nous comme un refrain : « Au moment de passer de ce monde à son Père, Jésus disait à ses disciples... ».


    Avec la messe qui se célèbre le soir du Jeudi de la Semaine Sainte, l’Eglise entre dans les trois jours saints de la liturgie de Pâques. L’unique messe du Jeudi Saint, célébrée « en mémoire de la Cène du Seigneur », est tout orientée vers les mystères de l’Eucharistie, de l’institution de l’Ordre sacerdotal et du commandement de la charité fraternelle.

    la messe du soir du Jeudi saint faite en mémoire de la Cène au cours de la quelle Jésus institua l’Eucharistie (la messe). On lit le récit de la Pâque juive avec l’agneau pascal (Exode 12,1-14), puis le texte de St Paul sur le repas du Seigneur (1 Cor. 11,23-26) et l’Évangile du lavement des pieds (Jean 13,1-15) Pendant cette lecture, le célébrant lave souvent devant l’autel les pieds de quelques fidèles. Après la célébration, l’Eucharistie est transportée solennellement en un lieu que l’on nomme "reposoir" où l’on peut se recueillir en méditant l’agonie de Jésus à Gethsémani et son appel "veillez et priez".

    :    Le vendredi saint, nous faisons mémoire de la croix du Christ et nous affirmons que Jésus, en son sacrifice, lors de l’office de la fin de l’après midi et du chemin de croix à trois heure. Le vendredi Saint est la source de tout l’événement du Salut. En passant de ce monde à son Père, par sa mort, Jésus ouvre pour nous son côté d’où coulent l’eau et le sang 

     

    Le Samedi saint en journée il ne se passe rien. Il n’y a pas de liturgie sacramentelle, pas d’Eucharistie surtout. Nous faisons mémoire du Christ au tombeau en silence. On ne célèbre ni baptême, ni mariage ce jour-là. La célébration de la résurrection commence le samedi soir à la Veillée Pascale.

    Dans la nuit de la Vigile pascale, le silence est rompu par le chant de l’Exsultet, et la nuit est vaincue par la flamme du cierge pascal qui se propage de cierge en cierge parmi les fidèles. Dans cette nuit de Pâque, en célébrant la résurrection du Christ, nous affirmons que tous les hommes sont appelés à ressusciter à sa suite, et que la création est appelée à être transfigurée en lui. Tel est le sens de la liturgie de la lumière : le cierge pascal représente le Christ ressuscité qui vient illuminer notre nuit de sa joie et de sa résurrection. Sa lumière se propage dans l’Église cette nuit comme elle se propage dans le monde, depuis la Pentecôte, par la foi des baptisés. La vigile pascale est mémoire du salut depuis la création jusqu’à la fin du monde. La grande liturgie de la Parole de cette nuit nous offre neuf lectures, sept de l’Ancien Testament, deux du Nouveau. La première nous rappelle que Dieu a créé le monde par sa parole : « Dieu dit que la lumière soit, et la lumière fut. » Tout au long de l’histoire d’Israël (les six autres lectures), Dieu accomplit pour son peuple les gestes du salut. Et lorsque les temps sont accomplis, Dieu sauve le monde par son propre Fils, Jésus, le Verbe incarné, la Parole éternelle en qui il a créé le monde devenue l’un d’entre nous. Ces lectures font entendre aux chrétiens l’unité de la parole de Dieu dans son déploiement biblique, et l’unité de son action dans son développement historique. L’Église choisit cette nuit pour baptiser les catéchumènes parce que la liturgie baptismale réalise ce que la foi affirme, c’est-à-dire que Jésus est le premier né d’entre les morts, le premier homme à passer de l’ombre de la mort à la lumière de la vie, afin qu’elle puisse faire naître à cette vie nouvelle d’enfants de Dieu les hommes sauvés par son sacrifice pascal.

    nous célébrons la résurrection du Christ. En fait, la résurrection du Seigneur est célébrée pendant cinquante jours, jusqu’à la Pentecôte, ce temps pascal étant comme un seul jour où le Christ, Agneau offert en sacrifice et ressuscité d’entre les morts envoie l’Esprit Saint. Le dimanche de Pâques, jour du tombeau vide, nous entendons la parole de l’Ange : « Ne cherchez pas parmi les morts celui qui est Vivant ! »   « Pâques » signifie « passage » : par ce passage de la mort à la Vie, le Christ a sauvé l’Homme du péché et l’a appelé à la vie éternelle. La Résurrection du Christ est l’accomplissement des promesses faites par Dieu à son peuple. C’est pourquoi la fête de Pâques est le sommet du calendrier liturgique chrétien. Ce jour-là est marqué dans les églises par la couleur blanche ou dorée, symbole de joie.

    Dans le Triduum, on ne célèbre pas successivement de façon séparée la Cène, la Passion, la Croix, le Tombeau, puis la Résurrection, mais bien ce mouvement du Fils de Dieu vers son père, sa Pâque, son passage qui ouvre le passage à toute l’humanité et à toute la création. Élevé sur la croix vers le Père, le Christ reçoit le coup de lance qui lui ouvre le côté. Il en sort de l’eau et du sang. Là est la source du Salut pour les hommes. Avec le Christ, c’est l’ensemble du peuple des rachetés qui effectue son passage vers le Père. L’unité du Triduum doit être célébrée et vécue comme telle. Cette unité apparaît mieux quand on compte les jours à la manière de la Bible. Le jour biblique commence le soir au coucher du soleil et s’achève le lendemain soir. Aussi le Triduum ne correspond-il pas à proprement parler avec “nos jours saints”, qui d’ailleurs sont au nombre de quatre et non de trois : jeudi, vendredi, samedi et dimanche. En fait, le premier jour du Triduum, celui de la Passion, commence le jeudi soir et comprend toute la journée du vendredi jusqu’à la mise au tombeau. Le deuxième, jour du Tombeau, commence donc vendredi soir et se prolonge jusqu’à la vigile pascale, samedi soir. Enfin, le troisième jour, jour de la résurrection, commence dans la nuit du samedi au dimanche et comprend tout le dimanche.

     

    sources:

    http://aiderpretres.cef.fr/services_aux_paroisses/reperes_liturgiques/le_jeudi_saint/

    http://qe.catholique.org/temps-liturgiques/9646-qu-est-ce-que-la-semaine-sainte-le-triduum

    http://mlambret.free.fr/article.php3?id_article=469




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